Ce coup-ci, je suis arrivé
suffisamment tôt (ou le concert a démarré
suffisamment tard, c’est selon…) pour que je puisse voir Bitpart.
Pas de batteur ce soir-là, et retour au line-up à 2 +
séquences batteries pré-programmées.
Je dois reconnaître que plus leur
album tourne sur ma platine, et plus je trouve qu’il y a vraiment
quelque chose de particulier qui s'en dégage, et différent
de tout ce qu'ils avaient pu faire jusqu'à présent sous
le nom de Fat Beavers, un disque sous le signe de la maturité ou point
d'aboutissement d'une sorte d'évolution logique empreint de
l'éclectisme musical de la ville d'Olympia et ses environs,
dans lequel ils prirent plaisir de baigner l'espace de 8 longs
mois...
En tout cas, bien qu’ayant peu dormi
(surtout Julie), on sentait que ces quelques jours passés sur
la route avec Jessica 93 de David Snug leur avaient apporté une certaine
dynamique, complicité et bonne humeur...
Bitpart - Le Rigoletto
11/04/2012
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